
Le pont thermique représente un maillon faible au sein de la structure d’une habitation. Il apparaît généralement au niveau du toit, de la façade ou du sol. Ce phénomène provoque des pertes de chaleur, de la condensation, des moisissures et des mauvaises odeurs. Zoom sur les ponts thermiques et les solutions d’isolation efficaces.
Les différents types de ponts thermiques
Le Diagnostic d’Efficacité Energétique (DPE) : l’évaluation des capacités thermiques d’un bâtiment
Le DPE : un allié de taille contre la surconsommation d’énergie
Les différents types de ponts thermiques
Si des ponts thermiques apparaissent sur une partie du mur, certaines zones sont plus sensibles. En effet, il en existe différents types, dont ceux qui surviennent en cas de rupture d’isolation. Ce défaut résulte généralement d’une mauvaise isolation ou d’une incohérence dans l’assemblage des matériaux.
Le manque d’isolation génère également un pont thermique. Ce sont surtout les maisons anciennes qui en souffrent. Des ponts thermiques se créent par exemple au niveau des parasols ou des stores. Ces défauts s’observent également lorsque le mur extérieur n’est pas posé directement sur la fondation. De plus, les menuiseries anciennes favorisent l’apparition de ponts thermiques. Certains matériaux permettent à l’air frais de s’infiltrer dans la maison. Il convient donc de se renseigner sur les solutions proposées sur le site isolation-energie-france.com par exemple qui apporte la réponse adaptée à tous vos projets.
Le Diagnostic d’Efficacité Energétique (DPE) : l’évaluation des capacités thermiques d’un bâtiment
Un diagnostic thermique vise à détecter les défaillances de l’isolation d’une habitation. Le professionnel certifié évaluera également les performances de l’appareil électrique et du système de chauffage. Elle tient compte de la qualité des vitrages ainsi que des équipements de production d’eau chaude sanitaire. Des paramètres tels que la localisation de l’immeuble ainsi que les factures de gaz et d’électricité seront également utiles pour établir un diagnostic précis.
A l’issue du Diagnostic Efficacité Energétique, le professionnel doit classer le bien selon deux labels. L’étiquette énergie présente la consommation énergétique du logement tout au long de l’année, sur une échelle de A à G. L’étiquette climat met en évidence l’impact de cette consommation annuelle en termes d’émissions de dioxyde de carbone. Il faudra aussi se référer à une échelle de A à G.
Le DPE : un allié de taille contre la surconsommation d’énergie
Plus qu’une démarche administrative, le Diagnostic Energétique peut très bien être utilisé pour réduire intelligemment les dépenses énergétiques. Ainsi, le parrain peut moduler sa consommation de chauffage et d’électricité. En revanche, les surconsommations énergétiques feront l’objet de remises en cause voire de travaux de rénovation. Cela peut passer par le remplacement des vitrages, l’installation d’équipements de chauffage moins énergivores.
Il faudra aussi penser à isoler les tuyaux. Contrairement à la croyance populaire, les coûts des rénovations seront payants à long terme. Cela affectera vos futures factures d’énergie ainsi que votre confort de vie tout au long de l’année. Investir dans une isolation performante, c’est aussi réduire son empreinte carbone. Cette initiative vise même à améliorer votre maison. Vous devrez choisir entre différents types de matériaux isolants, comme la mousse de polyuréthane projetée, la laine minérale, la ouate de cellulose et les billes de polystyrène par exemple, ces dernières permettant principalement d’isoler des zones inaccessibles, comme des espaces étroits.